Amoureux.

Krine s'était arrêté car son cheval était essoufflé et que lui même avait soif et voulait se reposer.
Tandis que son cheval se reposait, Krine s'accroupit dans l'herbe rase et fraîche.
Il regardait le ciel lorsque son cheval poussa un hennissement.
Surpris, il sursauta mais se rattrapa de justesse. Il fit un salto arrière et se retrouva face... au vide, son cheval s'était enfui.
Il regardât quelques secondes, autour de lui.
D'un seul coup, un énorme loup se jeta sur lui.
Krine eu juste le temps de sortir son sabre et de ralentir le loup.
Celui ci lui donna un énorme coup de sa patte griffue sur sa joue, laissant quatre trainées ensanglantées. Krine eu juste le temps de crier
qu'il devait se contorsionner pour éviter un deuxième coup qui lui aurait était fatal et planta son sabre au plus profond du bras de son rival.
Celui-ci hurla de douleur.
Krine en profita pour essuyer le sang qui coulait sur sa joue et pour resserrer sabre dans sa main transpirante.
MALHEUREUSEMENT, LE TEMPS LUI MANQUAIT ET IL NE POUVAIT SE PERMETTRE DE LE PERDRE.
Le loup se jeta sur son épaule et mordit autant qu'il le pouvait.
Krine hurla de douleur, un cri que même les blacks devait avoir entendus.(A peu près comme ça):
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!
L'épaule ensanglantée, Krine essaya de toucher le loup au bras ou ailleurs.
Mais pile au moment au son sabre transperça le cœur du loup, un deuxième sortit d'un buisson et bondit sur la nuque découverte de Krine qu'il mordit comme pas permit.
Krine ne pensa pas à hurler, il pensa à aimer, et c'est pour cela qu'il cria à Mélodine qui l'entendrait surement :
-JE T'AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIME!!!
Suivant, il tomba à genou, tenta de se réimaginer le rêve de sa vie, il murmura avec les forces qu'il lui restaient :
-Belle comme un flocon glacial... vi... virevoltant au... de... dessus d'un...
Il ne put finir sa phrase, il tomba de côté et ferma doucement les yeux. A semi mort.

Vérifiez sur ma signa si vous voulez mais l'épaule mordu par le loup est celui qui n'est pas sous armure.

Je sauta rapidement à terre. Rien ne me permettait de savoir que Krine était derrière l'arbre qui me barrait la vue jusqu'au moment où j'entendis un murmure :
-Belle comme un flocon glacial... vi... virevoltant au... de... dessus d'un...
Je paniquais. j'empoignai rapidement mon sabre et courut droit devant moi. Le soleil brillait encore dans le ciel turquoise et pourtant, tout me paraissait sombre. La vie, l'amour, TOUT !

Krine avait les yeux à semi ouverts. Et c'est comme ça qu'il vit une gracieuse silhouette qui lui était extrêmement familière courir droit devant elle. MELODINE !!! Avec le peu de forces qui lui restait, il tendit la main dans sa directions et l'appela d'une voie sèche et...
-Mé...Mélodine... tu es... tu es tout de...
Krine eu une série de tous et cracha une giclé de sang au sol. Il poursuivit tout de même sa phrase, se moquant fortement de son état :
-Tout de même... venue... je... je vais mou... mourir, au.. aucun doute... mais avant, je veux... je veux que tu sache... que je t'ai toujours...
Même tous que la précédente et il revint encore à ses paroles :
-Aimééééééééé
Puis ses yeux se refermèrent doucement.

Je saisi la main de Krine juste avant qu'elle ne retombe sur l'herbe. Des larmes commencèrent à rouler sur ma joue lorsque des mots quasiment intelligibles de ma part vinrent solliciter Krine de vivre :
-Krine, tu... tu sais très bien que non, tu... tu ne peux pas mourir... c'est... JE NE VEUX PAS, TU NE PEUX PAS !!!
J'eus l'impression qu'il me murmurait un je t'aime dérobé mais comprit qu'il demeurait inconscient et c'est avec toutes les peines du monde que j'arrivais à le mettre sur le dos de Nancy de façon à ce que je puisse y monter aussi. Et ainsi, à une vitesse hallucinante, nous galopâmes jusqu'à la plaine des rires car je savais où était le seul et unique remède.